[:fr]Dans la vie de tous les jours, certaines choses sont essentielles, et elles deviennent même indispensables professionnellement.
Parmi ces choses, on peut nommer la positivité, la capacité à essayer de toujours rebondir (que l’ont traitera dans un autre post), la capacité à établir des priorités et à savoir dire
Les raisons d’un tel besoin
Il s’agit presque de survie dans notre monde et dans le milieu freelance… Il faut apprendre à se faire respecter en tant que professionnel, à ne pas se faire exploiter, à accepter des projets que l’on pourra mener à bien avec le temps et les connaissances nécessaires.
L’exemple concret
Je suis sûre qu’il vous est tous arrivé dans un moment de calme plat, ou dans une envie de mettre un peu de beurre dans les épinards, d’accepter des projets qui ne vous convenaient pas, qui ne correspondaient pas à vos spécialités, qui étaient mal écrits (aussi étrange que cela puisse paraître, certains clients donnent des textes sources pleins d’erreurs de syntaxe, d’orthographe, de langue en général) ou encore avec un délai ridicule trop court du style 3-4 pages à rendre pour l’après-midi même ou même pourquoi pas pour hier…
Celui qui n’a QUE 3-4 pages à traduire…
Oui, parce qu’il y aura toujours le client pour vous dire « Il ne s’agit QUE de 3-4 pages, tu peux me faire ça pour tout à l’heure? » sans se préoccuper de la complexité du texte et des recherches à effectuer. Il est bien entendu presque toujours faisable (dans la mesure du possible) d’effectuer le travail moyennant un coût de surplus pour un travail effectué dans l’urgence, mais il est quand même important que nous soyons tous capables de dire , que ce soit pour des raisons de volume ou de qualité du document ou de délai, car les clients doivent apprendre le fonctionnement nécessaire à une bonne traduction…
La peur de ne pas être recontacté
Lorsque l’on travaille à son compte comme traducteur, surtout au début on a tendance à croire que si l’on refuse des projets, les clients ne nous contacteront plus.
C’est malheureusement possible, mais il est parfois mieux de ne pas travailler avec des gens qui n’ont que faire des conditions à réunir pour obtenir un bon travail.
Une des solutions serait de mettre à profit le temps gagné par ce refus pour rechercher de meilleurs clients…
Il ne s’agit aucunement de croire au dicton 1 de perdu 10 de retrouvés
Mais il est important de garder en mémoire que lorsque le traducteur se laisse dicter les conditions du client sans prendre en compte les siennes, cela se traduit par le stress et les difficultés qui peuvent conduire à un travail moyen et la vraie question est : qui peut gagner sa vie en effectuant un travail dont il n’est pas satisfait ?!?
Je dis donc simplement qu’il faut dans certains cas apprendre à faire certains choix, et croyez-moi, vous vous sentirez bien mieux après et je vous parle en connaissance de cause. Il existe évidemment toujours plusieurs cas de figure, car certains projets importants peuvent amener à de longues collaborations intéressantes, il faut donc bien entendu toujours peser le pour et le contre…
Ce qu’il faut retenir, chers amis traducteurs et autres, c’est qu’il faut apprendre à se valoriser, à ne pas dire oui à tout et n’importe quoi, apprendre à déterminer nos propres conditions et savoir dire NON lorsqu’elles ne sont pas respectées…
[:es]Dans la vie de tous les jours, certaines choses sont essentielles, et elles deviennent même indispensables professionnellement.
Parmi ces choses, on peut nommer la positivité, la capacité à essayer de toujours rebondir (que l’ont traitera dans un autre post), la capacité à établir des priorités et à savoir dire
Les raisons d’un tel besoin
Il s’agit presque de survie dans notre monde et dans le milieu freelance… Il faut apprendre à se faire respecter en tant que professionnel, à ne pas se faire exploiter, à accepter des projets que l’on pourra mener à bien avec le temps et les connaissances nécessaires.
L’exemple concret
Je suis sûre qu’il vous est tous arrivé dans un moment de calme plat, ou dans une envie de mettre un peu de beurre dans les épinards, d’accepter des projets qui ne vous convenaient pas, qui ne correspondaient pas à vos spécialités, qui étaient mal écrits (aussi étrange que cela puisse paraître, certains clients donnent des textes sources pleins d’erreurs de syntaxe, d’orthographe, de langue en général) ou encore avec un délai ridicule trop court du style 3-4 pages à rendre pour l’après-midi même ou même pourquoi pas pour hier…
Celui qui n’a QUE 3-4 pages à traduire…
Oui, parce qu’il y aura toujours le client pour vous dire « Il ne s’agit QUE de 3-4 pages, tu peux me faire ça pour tout à l’heure? » sans se préoccuper de la complexité du texte et des recherches à effectuer. Il est bien entendu presque toujours faisable (dans la mesure du possible) d’effectuer le travail moyennant un coût de surplus pour un travail effectué dans l’urgence, mais il est quand même important que nous soyons tous capables de dire , que ce soit pour des raisons de volume ou de qualité du document ou de délai, car les clients doivent apprendre le fonctionnement nécessaire à une bonne traduction…
La peur de ne pas être recontacté
Lorsque l’on travaille à son compte comme traducteur, surtout au début on a tendance à croire que si l’on refuse des projets, les clients ne nous contacteront plus.
C’est malheureusement possible, mais il est parfois mieux de ne pas travailler avec des gens qui n’ont que faire des conditions à réunir pour obtenir un bon travail.
Une des solutions serait de mettre à profit le temps gagné par ce refus pour rechercher de meilleurs clients…
Il ne s’agit aucunement de croire au dicton 1 de perdu 10 de retrouvés
Mais il est important de garder en mémoire que lorsque le traducteur se laisse dicter les conditions du client sans prendre en compte les siennes, cela se traduit par le stress et les difficultés qui peuvent conduire à un travail moyen et la vraie question est : qui peut gagner sa vie en effectuant un travail dont il n’est pas satisfait ?!?
Je dis donc simplement qu’il faut dans certains cas apprendre à faire certains choix, et croyez-moi, vous vous sentirez bien mieux après et je vous parle en connaissance de cause. Il existe évidemment toujours plusieurs cas de figure, car certains projets importants peuvent amener à de longues collaborations intéressantes, il faut donc bien entendu toujours peser le pour et le contre…
Ce qu’il faut retenir, chers amis traducteurs et autres, c’est qu’il faut apprendre à se valoriser, à ne pas dire oui à tout et n’importe quoi, apprendre à déterminer nos propres conditions et savoir dire NON lorsqu’elles ne sont pas respectées…
[:it]Dans la vie de tous les jours, certaines choses sont essentielles, et elles deviennent même indispensables professionnellement.
Parmi ces choses, on peut nommer la positivité, la capacité à essayer de toujours rebondir (que l’ont traitera dans un autre post), la capacité à établir des priorités et à savoir dire
Les raisons d’un tel besoin
Il s’agit presque de survie dans notre monde et dans le milieu freelance… Il faut apprendre à se faire respecter en tant que professionnel, à ne pas se faire exploiter, à accepter des projets que l’on pourra mener à bien avec le temps et les connaissances nécessaires.
L’exemple concret
Je suis sûre qu’il vous est tous arrivé dans un moment de calme plat, ou dans une envie de mettre un peu de beurre dans les épinards, d’accepter des projets qui ne vous convenaient pas, qui ne correspondaient pas à vos spécialités, qui étaient mal écrits (aussi étrange que cela puisse paraître, certains clients donnent des textes sources pleins d’erreurs de syntaxe, d’orthographe, de langue en général) ou encore avec un délai ridicule trop court du style 3-4 pages à rendre pour l’après-midi même ou même pourquoi pas pour hier…
Celui qui n’a QUE 3-4 pages à traduire…
Oui, parce qu’il y aura toujours le client pour vous dire « Il ne s’agit QUE de 3-4 pages, tu peux me faire ça pour tout à l’heure? » sans se préoccuper de la complexité du texte et des recherches à effectuer. Il est bien entendu presque toujours faisable (dans la mesure du possible) d’effectuer le travail moyennant un coût de surplus pour un travail effectué dans l’urgence, mais il est quand même important que nous soyons tous capables de dire , que ce soit pour des raisons de volume ou de qualité du document ou de délai, car les clients doivent apprendre le fonctionnement nécessaire à une bonne traduction…
La peur de ne pas être recontacté
Lorsque l’on travaille à son compte comme traducteur, surtout au début on a tendance à croire que si l’on refuse des projets, les clients ne nous contacteront plus.
C’est malheureusement possible, mais il est parfois mieux de ne pas travailler avec des gens qui n’ont que faire des conditions à réunir pour obtenir un bon travail.
Une des solutions serait de mettre à profit le temps gagné par ce refus pour rechercher de meilleurs clients…
Il ne s’agit aucunement de croire au dicton 1 de perdu 10 de retrouvés
Mais il est important de garder en mémoire que lorsque le traducteur se laisse dicter les conditions du client sans prendre en compte les siennes, cela se traduit par le stress et les difficultés qui peuvent conduire à un travail moyen et la vraie question est : qui peut gagner sa vie en effectuant un travail dont il n’est pas satisfait ?!?
Je dis donc simplement qu’il faut dans certains cas apprendre à faire certains choix, et croyez-moi, vous vous sentirez bien mieux après et je vous parle en connaissance de cause. Il existe évidemment toujours plusieurs cas de figure, car certains projets importants peuvent amener à de longues collaborations intéressantes, il faut donc bien entendu toujours peser le pour et le contre…
Ce qu’il faut retenir, chers amis traducteurs et autres, c’est qu’il faut apprendre à se valoriser, à ne pas dire oui à tout et n’importe quoi, apprendre à déterminer nos propres conditions et savoir dire NON lorsqu’elles ne sont pas respectées…
[:en]Dans la vie de tous les jours, certaines choses sont essentielles, et elles deviennent même indispensables professionnellement.
Parmi ces choses, on peut nommer la positivité, la capacité à essayer de toujours rebondir (que l’ont traitera dans un autre post), la capacité à établir des priorités et à savoir dire
Les raisons d’un tel besoin
Il s’agit presque de survie dans notre monde et dans le milieu freelance… Il faut apprendre à se faire respecter en tant que professionnel, à ne pas se faire exploiter, à accepter des projets que l’on pourra mener à bien avec le temps et les connaissances nécessaires.
L’exemple concret
Je suis sûre qu’il vous est tous arrivé dans un moment de calme plat, ou dans une envie de mettre un peu de beurre dans les épinards, d’accepter des projets qui ne vous convenaient pas, qui ne correspondaient pas à vos spécialités, qui étaient mal écrits (aussi étrange que cela puisse paraître, certains clients donnent des textes sources pleins d’erreurs de syntaxe, d’orthographe, de langue en général) ou encore avec un délai ridicule trop court du style 3-4 pages à rendre pour l’après-midi même ou même pourquoi pas pour hier…
Celui qui n’a QUE 3-4 pages à traduire…
Oui, parce qu’il y aura toujours le client pour vous dire « Il ne s’agit QUE de 3-4 pages, tu peux me faire ça pour tout à l’heure? » sans se préoccuper de la complexité du texte et des recherches à effectuer. Il est bien entendu presque toujours faisable (dans la mesure du possible) d’effectuer le travail moyennant un coût de surplus pour un travail effectué dans l’urgence, mais il est quand même important que nous soyons tous capables de dire , que ce soit pour des raisons de volume ou de qualité du document ou de délai, car les clients doivent apprendre le fonctionnement nécessaire à une bonne traduction…
La peur de ne pas être recontacté
Lorsque l’on travaille à son compte comme traducteur, surtout au début on a tendance à croire que si l’on refuse des projets, les clients ne nous contacteront plus.
C’est malheureusement possible, mais il est parfois mieux de ne pas travailler avec des gens qui n’ont que faire des conditions à réunir pour obtenir un bon travail.
Une des solutions serait de mettre à profit le temps gagné par ce refus pour rechercher de meilleurs clients…
Il ne s’agit aucunement de croire au dicton 1 de perdu 10 de retrouvés
Mais il est important de garder en mémoire que lorsque le traducteur se laisse dicter les conditions du client sans prendre en compte les siennes, cela se traduit par le stress et les difficultés qui peuvent conduire à un travail moyen et la vraie question est : qui peut gagner sa vie en effectuant un travail dont il n’est pas satisfait ?!?
Je dis donc simplement qu’il faut dans certains cas apprendre à faire certains choix, et croyez-moi, vous vous sentirez bien mieux après et je vous parle en connaissance de cause. Il existe évidemment toujours plusieurs cas de figure, car certains projets importants peuvent amener à de longues collaborations intéressantes, il faut donc bien entendu toujours peser le pour et le contre…
Ce qu’il faut retenir, chers amis traducteurs et autres, c’est qu’il faut apprendre à se valoriser, à ne pas dire oui à tout et n’importe quoi, apprendre à déterminer nos propres conditions et savoir dire NON lorsqu’elles ne sont pas respectées…
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